En panne d’idées cadeaux à quelques jours de Noël ? Pourquoi ne pas glisser sous le sapin le dernier tome des aventures de Michel Vaillant, associé aux équipes de Venturi pour relever un nouveau défi 100 % électrique.
Sorti le 6 décembre, le deuxième tome de cette Nouvelle Saison des aventures de Michel Vaillant s’intitule « Voltage ». Un nom qui ne doit rien au hasard puisque le pilote automobile a décidé de battre le record de vitesse électrique sur le lac salé de Bonneville, aux Etats-Unis. Entre fiction et réalité, la Vaillante, véhicule de record piloté par Michel Vaillant, s’inspire largement de la VBB-3 de Venturi.
« Après 50 ans et 60 titres, les aventures de Michel Vaillant avaient besoin de partir sur de nouvelles bases, de créer une rupture scénaristique et surtout de réancrer le personnage de Michel Vaillant sur ce qui se passe actuellement sur le plan des nouvelles technologies et des nouvelles énergies » nous explique Philippe Graton, coscénariste de Michel Vaillant, lors d’une interview à paraitre d’ici quelques jours sur le site de l’AVEM.
S’il faudra sans doute quelques pages aux non-habitués des aventures de Michel Vaillant pour entrer dans l’histoire, le scénario s’avère passionnant et ne manque pas d’aborder le sujet de la place du véhicule électrique en compétition automobile…
Résumé de l’histoire
Interdit de course jusqu’à la fin de la saison après les événements de la course de Portimão, Michel Vaillant traverse une période de doute. Troublé par la détermination de son fils, engagé dans une entreprise qu’il juge incompatible avec les valeurs de la famille, Michel Vaillant décide de relever un nouveau défi : battre le record de vitesse avec une voiture électrique sur le Lac salé de Bonneville, aux États-Unis.
La pression qui pèse sur ses épaules est forte. La crédibilité et le prestige des usines Vaillant se trouvent mis en jeu dans cette performance. Il n’a en effet pas droit à l’échec, tant vis-à-vis des sponsors que de son père, le patriarche de la famille, qui n’a jamais caché son mépris pour l’électrique. S’ajoutent à cette tension les inquiétudes de Françoise, préoccupée par les risques que va prendre Michel en pilotant ce prototype. La saga Michel Vaillant se poursuit sur les chapeaux de roue, en un habile dialogue entre fiction et réalité.
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