Au sein de l’Union Européenne, la réduction des gaz à effets de serre dans le secteur des transports dépendra d’une multitude de technologies (électrique, hybride rechargeable, hydrogène…), telle est la conclusion d’une étude réalisée par un consortium regroupant une trentaine de membres.
Dans les quarante années à venir, l’étude démontre que le véhicule décarboné ne pourra pas reposer sur une seule technologie, qui ne parviendrait pas à couvrir toutes les exigences en terme d’économie, d’écologie et de performances, mais sur une multitude d’entre elles : électrique, hybride rechargeable, pile à combustible…
Il est donc fort probable que le monde automobile passe d’une technologie unique, le moteur à combustion à l’heure actuelle, vers un panel de nouvelles motorisations qui joueront un rôle complémentaire. Ainsi, les voitures électriques seraient davantage réservées à des trajets courts tandis que les voitures hydrogènes seraient destinées à des trajets moyens longs. Les hybrides rechargeables constitueraient également une bonne solution pour des courts trajets où seule l’énergie électrique des batteries serait sollicitée. Pour les trajets longs, l’usage du moteur thermique alimenté par du biocarburant de nouvelle génération les rendrait encore plus efficace.
L’étude propose ainsi un bilan comparatif intéressant entre toutes ces nouvelles technologies, notamment sur le plan économique avec une évaluation du coût total d’utilisation (TCO) à l’horizon 2020 à 2025.
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